Présentation

Terres de Couleurs, association loi 1901, accompagne depuis 2012 des jeunes filles Maasaï dont les familles rejettent l'excision, culturellement pratiquée dans cette ethnie (Kenya)
Pour en savoir plus et suivre une actualité locale
allez sur : http://www.facebook.com/TerresDeCouleursMaasai et pour notre histoire depuis la création visitez notre site : http://terresdecouleurs.fr/

dimanche 28 octobre 2012

Kenny Matampash Ole Meritei - Maasaï

Soit vous le connaissez déjà et vous n'avez de hâte que de le rencontrer à nouveau
Soit vous ne le connaissez pas mais voyez passer des post avec son nom 
et dans ce cas un conseil....
Trouvez un moment pour aller à sa rencontre !

Soit vous êtes déjà allés au Kenya et vous avez vu des Maasaï ...des vrais.... 
et des faux...en club vacances !
Soit vous êtes avec ce projet .... bien en tête ....et vous vous renseignez .....

Quoi qu'il en soit vous êtes arrivés sur ce blog et prenez pour eux, Maasaï, le temps de lire les post des derniers mois pour comprendre pourquoi 
Kenny Matampash ole Meritei 

arrive en France la semaine prochaine pour 1 mois !

Photos Maïtha Lobjois - Cannet des Maures 2011



vendredi 19 octobre 2012

Semaine de la solidarité Internationale



Le Dimanche 18 Novembre 

Au Bar des Flots à Lorient de 18 h à 21 h
En présence de Kenny Matampash

Remise des fonds collectés grâce à une vente aux enchères 
de créations artistiques « Portraits » lors de l’ECNI du 01 septembre 2012 
5ème ARTDINERIES au Dolmen du Possible 

Geoffrey Oreyma a accepté de créer l’ambiance lors ce cette soirée d’ouverture 
Rencontre de l’Ougandais et du Maasaï Kenyan 

Photos Ouest France pour Geoffrey Oreyma et Maïtha Lobjois pour Kenny Matampash




Le Lundi 19 Novembre à 20 h 
3ème soirée du Festival ALIMENTERRE
Lycée Dupuy de Lôme




Film « Planète à Vendre »

D’A.Marant/CAPA Presse TV/ ARTE France de 2010/ 90’


Kenny Matampash interviendra après le film sur ce sujet de l’Accaparement des Terres




Le Mardi 20 Novembre 

De 10 h à 12 h Amphithéâtre du Lycée Colbert à Lorient

Conférence de Kenny Matampash et Extraits du film  Maasaïïtis

La Culture ancestrale Maasaï et son devenir

De 14 h à 16 h Débat sur le thème Education/Excision
Participation du Lycée technique Marie Lefranc



Le Mercredi 21 Novembre 

Au Collège Notre Dame Jean Paul II  à Ploemeur De 10  à 12 h

Conférence de Kenny Matampash sur le thème 
La Culture ancestrale Maasaï et son devenir
Extraits du film Maasaïïtis


Le Jeudi 22 Novembre

Salle Port Blanc à l’Océanis Ploemeur à 20 h 30

Conférence de Kenny Matampash sur le thème 
La Culture Ancestrale Maasaï et son devenir

Projection du Film Maasaïïtis
De Xavier Peron et Cédric Klapisch




Le Dimanche 25 Novembre

A Bécherel à 14 h30
A La Maison du Livre et du Tourisme
Conférence de Kenny Matampash sur le thème 
La Culture Ancestrale Maasaï et son devenir

Projection du Film Maasaïïtis de Xavier Peron et Cédric Klapisch


Le Dimanche 25 Novembre
17 heures 
Vente aux Enchères d’œuvres  d’Alain AUREGAN
Artiste-peintre à Becherel




Pour tout renseignement Maïtha LOBJOIS 06 62 20 47 98
https://www.facebook.com/TerresDeCouleursMaasai













lundi 15 octobre 2012

Dans l’intimité d’une femme excisée

C'est un article de ce jour ......................
voici le lien
http://baolnews.com/index.php/les-lundis-de-omar-ba/item/6756-dans-l%E2%80%99intimit%C3%A9-d%E2%80%99une-femme-excis%C3%A9e


et l'article......................


Société - On parle souvent  du drame de l’excision mais rarement de ses effets infernaux sur la vie intime des femmes qui en sont victimes....
... Pourtant des millions de mères de famille évoluent dans le silence pesant de ce traumatisme.

Coumba* fait partie de cette foule de malheureuses qui vivent au quotidien les affres de la mutilation génitale. La jeune femme est une sénégalaise de 33 ans née à Dakar. Elle est issue d’une famille qui a ses origines en  Casamance, une région du sud du Sénégal, connue pour son décor de carte postale et ses paysages idylliques.
Coumba coulait des jours heureux dans la capitale sénégalaise quand, à l’âge de 12 ans, prétextant des vacances, sa mère l’amena au village. Excitée à l’idée de voir à quoi ressemblait la contrée dont on lui chantait si souvent les louanges, le jeune fille était toute pressée de quitter Dakar.
Dès l’arrivée au village l’ambiance sembla étrange. Les conciliabules allèrent bon train comme si on voulait éviter à Coumba d’apprendre une mauvaise nouvelle. Sa surprise n’en fut que plus grande quand sa mère l’amena chez une vielle dame qui lui était totalement inconnue. Il s’agissait, en fait, de  «l’experte en ablation de clitoris». Après les salamalecs d’usage, on passa aux choses sérieuses. Alors que deux vigoureuses dames lui tenaient chacune une jambe, l’exciseuse, se saisit du couteau qui lui sert toujours pour cet exercice et sectionna brutalement le clitoris.
La violence du geste fut telle que le sang gicla violemment. Malgré les mots pour rassurer et les tentatives d’arrêter le liquide, il coulait sans discontinuer. L’exciseuse était désemparée car pour la première fois elle avait une cliente qui saignait autant. Le fait est que Coumba souffre d’une maladie, détectée il y a peu de temps chez elle, dénommée «hémophilie». Il s’agit d’une anomalie causée par une défaillance d’un des facteurs de la coagulation. Un hémophile peut se vider de son sang en un temps record à la suite d’une toute petite coupure. Que dire alors d’une blessure volontaire faite au moyen d’un instrument aussi tranchant qu’un couteau et dans un endroit si intime du corps ?
Voyant que la jeune fille perdait trop de sang les exciseuses furent prises de panique. C’est alors qu’elles décidèrent de mâcher de la kola et de l’appliquer sur la plaie ouverte. Mais rien ne semblait arrêter le flot. Alors, elles persistèrent à appliquer encore et encore le même produit, qui réussit à calmer le saignement au bout de quelques heures. Mais une infection s’ensuivit, qui rendait les déplacements de la fille plus que chaotique l’obligeant à rester cloitrée dans une case le plus clair du temps. Coumba vécut plusieurs semaines au cours desquelles même uriner était devenu une corvée. Mais on lui présentait cette douleur comme un passage obligé pour devenir une fille «entière» (sic) et pure.
Quatre ans après le passage du couteau exciseur, la jeune fille était donnée en mariage à un émigré vivant en France. C’était en 1996. Pendant quatre ans - c'est-à-dire jusqu’en 2000 – Coumba, vivant à Dakar, n’a pas vu physiquement son époux qui était en situation irrégulière dans l’Hexagone. Quand il put enfin revenir au Sénégal, il fallait organiser au plus vite la nuit de noces. Coumba aurait préféré ne jamais voir son mari car la douleur du premier rapport était la même que le jour où on lui a arraché son clitoris. En effet, en plus de lui avoir ôté cette partie considérée comme impure, l’entrée de l’appareil génital avait été obstrué au maximum pour, dit-on, empêcher la pénétration masculine. Dès lors, avant le premier rapport, une dame a dû procéder à une incision au moyen d’une lame pour frayer un passage. L’acte se fit donc sur une plaie béante.
«Depuis cette date, explique Coumba en 2012, chacun de mes rapports me fait revivre le même supplice que lors de ma première fois». Et de poursuivre avec amertume: «le plaisir sexuel dont j’entends souvent parler reste un rêve pour moi et je sais que je ne le connaîtrais jamais».
Aujourd’hui Coumba vit en France où elle a rejoint son mari depuis 2002. Elle est deveue mère de trois enfants, un garçon et deux filles. Autant dire qu’elle a tout pour être heureuse mais reste figée dans son passé cauchemardesque. «Quand la nuit commence à tomber j’appréhende », dit-elle, consciente du calvaire qui l’attend au lit. Son mal-être est d’autant plus grand que la désormais mère de famille vit avec un mari qui a une conception assez datée du rôle de la femme. Celle-ci serait au mieux un simple réceptacle et au pire un engin cantonné à la seule reproduction.
Coumba jure de ne jamais faire subir cette torture à ses filles qui ont aujourd’hui cinq et trois ans. Lors de ses vacances de 2010 à Dakar, la grand-mère a fait une tentative mais elle a été sèchement envoyée dans les filets par une Coumba désormais en guerre contre cette pratique scandaleuse.
Cette voix méritait d’être entendue au moment où certains osent convoquer la culture ou la religion pour justifier cet acte d’un autre temps.
A lundi !
Omar Ba avec Baolnews.com
*Coumba est un prénom d’emprunt



Sans commentaire .....je sais pourquoi j'oeuvre avec Terres de Couleurs ! Maïtha

jeudi 11 octobre 2012

11 Octobre Journée Internationale des Filles



l'ONU a officiellement reconnu le 11 Octobre comme 
Journée Internationale des Filles...

Le groupe Droits des Filles propose une action de mobilisation mondiale 
www.droitsdesfilles.fr




C'est aujourd'hui ne les oublions pas !!!!!

dimanche 7 octobre 2012

Terres de Couleurs a sa page Facebook

Depuis ce jour TERRES de COULEURS  Maasaï a sa page facebook

Allez nous rendre visite et partager avec vos amis !!!

Merci ......................


Terres de Couleurs - Maasaï | Facebook

www.facebook.com/TerresDeCouleursMaasai

jeudi 4 octobre 2012

Du 18 au 26 Novembre 2012 Semaine de la Solidarité Internationale

Le programme de ces 9 jours va bientôt être définitif,  
nous vous le présenterons ce week-end !
En avant première la conférence du jeudi 22 novembre
à l'Océanis de PLOEMEUR dont affiche ci-dessous